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Devenir mécène

Le mécénat et la Fondation CNRS

Le mécénat d’entreprise permet de contribuer volontairement, sans contrepartie directe, au progrès général du savoir, bien commun qui conduira aux innovations de demain sur la base des résultats de la recherche fondamentale, libre, à risque, et de long terme.

Soutenir la Fondation CNRS, c’est aussi contribuer à la vie des laboratoires de recherche, qui sont potentiellement des partenaires dans un cadre de relations plus finalisées. C’est également de contribuer à l’attractivité des jeunes talents dans les laboratoires du CNRS.

Le mécénat contribue à entretenir et développer une expertise pluridisciplinaire unique. C’est aider le CNRS à répondre aux défis environnementaux, politiques et démographiques…

Contribuez à garantir au CNRS les moyens de conforter sa place d’acteur national, présent sur tout le territoire, et international, au premier plan des classements de la recherche à l’échelle mondiale et bénéficier de son image de marque.

Sous forme de chaires, le mécénat permet de rapprocher le monde de l’entreprise avec celui des laboratoires et de leurs personnels dans un cadre souple. Sans contrepartie directe, ce soutien permettra notamment de conserver ou développer des savoirs et disciplines rares ou émergeants, sources des inventions et progrès techniques que nul ne saurait aujourd’hui prévoir, mais qui contribueront au développement des produits et marchés du futur.

Vous pouvez également parrainer un grand prix d’encouragement scientifique dans un domaine d’intérêt pour votre entreprise.

Nous soutenir

Le projet de mécénat est totalement personnalisé pour correspondre aux valeurs que nous pourrons partager et à vos domaines d’intérêt.

Fiscalité

Votre soutien est déductible de l’impôt. Le régime fiscal du mécénat permet aux entreprises assujetties à l’impôt sur le revenu ou sur les sociétés, de bénéficier d’une réduction d’impôt égale à 60 % du montant des dons versés jusqu’à 2 millions d’euros, et d’une réduction au taux de 40 % pour la fraction supérieure à 2 millions d’euros.

L’ensemble s’inscrit dans la limite de 5 ‰ du chiffre d’affaire, portée à un minimum de 20 000 € par an pour les PME (article 238 bis du code général des impôts).